Bonjour à tous,
A l’approche de la sortie (demain !) de Pro Cycling Manager 2022, nous voulions prendre une dernière fois la parole et évoquer la génération des coureurs et le développement. Cette année, nous avions pour objectif de répondre à vos demandes et de s’adapter le plus possible au cyclisme moderne. Pour cela nous avons revu entièrement le système de notation et la génération des nouveaux coureurs.
Une refonte complète
Dans les précédents opus de Pro Cycling Manager, vous pouviez constater que les coureurs évoluaient de manière assez typées, un sprinteur restait généralement dans son domaine, un rouleur idem et finalement il était presque impossible de voir des coureurs polyvalents se développer. Le cyclisme moderne montre depuis quelques années des coureurs qui ont tendance à avoir plusieurs cordes à leur arc. Nous pensions qu’il était important de revoir à la base tout le système de génération des attributs et des potentiels pour faire évoluer la série.
Plus de lisibilité
Pour commencer nous avons retravaillé le système de notation. Les coureurs sont évalués sur 6 étoiles (avec des paliers de 0.5) ce qui permet d’être plus parlant qu’une note entre 50 et 85 qui donnait trop de granularité pour évaluer de manière globale un coureur.
D’autre part le potentiel qui était noté de 1 à 8 auparavant sera lui aussi noté sur 6 étoiles, afin d’être mis sur la même échelle. Le potentiel général permet d’avoir une idée de ce que peux devenir au mieux l’évaluation du coureur. Les coureurs sont aussi notés dans chacun des sous-domaine (courses par étapes, sprints, etc…) pour avoir un potentiel plus précis. Par exemple, David Gaudu possédant 5 étoiles en courses par étapes a une marge de progression d’encore une étoile. L’évolution maximale possible est visible par des étoiles bleues à la fin de chaque ligne de notation dans chacun des domaines. (Screen ci-dessous). Il devient plus important de diversifier ses coureurs et les améliorer dans tous les disciplines possibles !
Nouvelle génération
Depuis un grand nombre d’années, la génération de nouveaux coureurs est l’une des forces de la série PCM. Pour l’opus de 2022 nous avons fait en sorte d’améliorer ce système pour le rendre plus actuel, mais aussi permettre plus de possibilité. Pour cela, bien plus de coureurs sont générés chaque année. Nous passons de quelques centaines à plus de 3 000 au total. Une nette amélioration qui s’accompagne par la mondialisation du cyclisme.
En effet, depuis quelques années, des coureurs du monde entier font leur apparition dans le peloton international. Pour continuer dans cette diversification, les 3 000 nouveaux coureurs proviennent maintenant de 129 pays différents, contre 50 les années précédentes. Vous avez donc bien plus de choix qu’avant. A vous de faire les bons choix pour amener votre équipe au sommet.
Une polyvalence accrue
Si l’on se penche sur les phénomènes actuels du cyclisme que son Wout van Aert, Mathieu van Der Poel, Tadej Pogacar et bien d’autres, nous avons des profils de coureurs beaucoup plus diversifiés sur le vélo que lors de la dernière décennie. Les cyclistes ne sont plus cantonnés à un seul et unique rôle (Grimpeur, sprinteur…). Aujourd’hui, il faut savoir tout faire pour gagner une étape / une course. Dans cette optique nous nous sommes penchés sur les forces des coureurs générés.
Les progressions des coureurs ont aussi été revu pour un développement plus équilibré, avec moins de « sauts » entre certaines caractéristiques (parfois un grimpeur pouvait se retrouver avec une trop grande différence entre sa note montagne et sa note vallons).
Dans les 3 000 coureurs générés chaque année, nous retrouvons des profils équilibrés, intéressants et capables de faire face à tout type d’épreuves. En plus des coureurs classiques présents depuis quelques années dans PCM, parfois quelques pépites verront le jour et ces profils se démarqueront pour leur force accrue ainsi que leur combativité. Ces derniers ne cesseront de vous impressionner et ne demanderont qu’à être recrutés. Que ce soit en montagne, en plaine et en contre-la-montre, ce nouveau type de coureurs sera capable de briller.
Un potentiel dynamique
Enfin, pour établir un lien avec le système de scouting, il faut savoir que tous les jeunes coureurs promis à un bel avenir ne pourront se développer pleinement. Le staff pourra remarquer que certains jeunes coureurs (moins de 23 ans) vus chez les juniors comme 5 ou 6 étoiles en potentiels seront finalement un peu moins prometteurs que prévu, ou à l’inverse et plus rarement plus prometteurs !